Définition : Amortissement locatif
Au fil des années, la valeur des biens immobiliers diminue à cause de la vétusté. Ce processus naturel entraîne une perte qui peut être déduite des revenus locatifs, sous certaines conditions.
Cette déduction, prévue dans les règles comptables, correspond à l’amortissement locatif. En général, l’amortissement locatif est mis en place par les autorités compétentes pour encourager les investissements locatifs.
👉 L’amortissement dans le cadre d’une location nue :
Comme la location nue rentre dans la catégorie des revenus fonciers, la déduction de l’amortissement n’est pas applicable dans le cadre de ce régime. Des régimes qui facilitent le processus de défiscalisation immobilière ont été mis en place :
– le régime Périssol (amortissement de 10% du prix d’achat du bien pendant les 4 premières années, puis 2% pendant les 20 ans qui suivent),
– le régime Robien et le régime Besson (amortissement de 8% pendant les 5 premières années, puis 2,5% au cours des 4 années qui suivent), etc.
Bien que ces dispositifs ne soient plus applicables aux nouveaux investissements, ils continuent toujours à produire des effets.
👉 L’amortissement dans le cadre d’une location meublée :
Les revenus et les charges issus d’une location meublée sont soumis au régime des Bénéfices Industriels et Commerciaux (BIC). Ce régime prévoit l’amortissement des biens immobilisés à l’actif. C’est pour cette raison qu’il est recommandé de choisir ce régime pour bénéficier des amortissements LMNP.
Lorsque les biens immobiliers en location meublée sont soumis au régime réel, c’est la méthode d’amortissement par composant qui s’applique. Chaque élément est pris en compte en fonction de leur durée d’usure : gros œuvre, façade, toiture, etc.
Par exemple, si le gros œuvre a coûté 250 000€ et qu’il est amorti au bout de 50 ans, le propriétaire peut bénéficier d’un amortissement de 5 000€ (250 000€/50) déduit de ses revenus imposables annuels.
Au fil des années, la valeur des biens immobiliers diminue à cause de la vétusté. Ce processus naturel entraîne une perte qui peut être déduite des revenus locatifs, sous certaines conditions.
Cette déduction, prévue dans les règles comptables, correspond à l’amortissement locatif. En général, l’amortissement locatif est mis en place par les autorités compétentes pour encourager les investissements locatifs.
👉 L’amortissement dans le cadre d’une location nue :
Comme la location nue rentre dans la catégorie des revenus fonciers, la déduction de l’amortissement n’est pas applicable dans le cadre de ce régime. Des régimes qui facilitent le processus de défiscalisation immobilière ont été mis en place :
– le régime Périssol (amortissement de 10% du prix d’achat du bien pendant les 4 premières années, puis 2% pendant les 20 ans qui suivent),
– le régime Robien et le régime Besson (amortissement de 8% pendant les 5 premières années, puis 2,5% au cours des 4 années qui suivent), etc.
Bien que ces dispositifs ne soient plus applicables aux nouveaux investissements, ils continuent toujours à produire des effets.
👉 L’amortissement dans le cadre d’une location meublée :
Les revenus et les charges issus d’une location meublée sont soumis au régime des Bénéfices Industriels et Commerciaux (BIC). Ce régime prévoit l’amortissement des biens immobilisés à l’actif. C’est pour cette raison qu’il est recommandé de choisir ce régime pour bénéficier des amortissements LMNP.
Lorsque les biens immobiliers en location meublée sont soumis au régime réel, c’est la méthode d’amortissement par composant qui s’applique. Chaque élément est pris en compte en fonction de leur durée d’usure : gros œuvre, façade, toiture, etc.
Par exemple, si le gros œuvre a coûté 250 000€ et qu’il est amorti au bout de 50 ans, le propriétaire peut bénéficier d’un amortissement de 5 000€ (250 000€/50) déduit de ses revenus imposables annuels.
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